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Changer la trajectoire des cancers et des patients par des innovations de rupture

En France, 3,8 millions de personnes ont eu ou vivent avec un cancer.1 Malgré de réels progrès thérapeutiques, de nombreux besoins restent non couverts. Après avoir mis à disposition une quinzaine de molécules en une dizaine d’années, Pfizer cherche toujours à ouvrir de nouvelles voies en oncologie avec des innovations de rupture, et investit massivement en R&D dans ce but. 

15 ans d’expertise en Oncologie 

Chaque année en France, le cancer touche 380 000 nouveaux patients, et près de 160 000 décèdent de cette maladie.1 Bien que l’incidence et la mortalité des cancers diminuent,1 de nombreux besoins restent sans réponse, notamment contre les cancers de mauvais pronostic, et les patients réfractaires aux traitements actuels se retrouvent dans l’impasse après plusieurs protocoles thérapeutiques. 

« C’est parce que les enjeux sont considérables que l’oncologie est une priorité majeure et représente la plus grande partie des investissements de Pfizer en R&D au niveau mondial et en France. Nous cherchons à mettre au point des innovations de rupture pour apporter des meilleurs traitements et une meilleure qualité de vie aux patients ayant un cancer », explique le Dr Jérôme Krulik, Directeur Médical Oncologie chez Pfizer France. 

« Globalement, nous investissons pour mettre à disposition des médecins et des patients de nouvelles thérapies issues de différentes voies de recherche : thérapies orales, médicaments biologiques et immunothérapies ciblées. » 

L’engagement de Pfizer en oncologie a commencé dans les années 1990 et n’a cessé de se renforcer. Depuis une dizaine d’années, Pfizer a ainsi mis à disposition une quinzaine de molécules en oncologie. Ces thérapeutiques innovantes ont permis d’apporter des innovations dans de nombreux cancers, fréquents ou rares, notamment des formes les plus graves et les plus avancées de cancers du rein, du sein, du poumon et du sang, mais aussi, via notre Alliance avec Merck en immuno-oncologie, dans le cancer de la vessie et dans un cancer cutané rare, le carcinome à cellules de Merkel.2 
Parmi ses derniers médicaments mis à disposition en France, un inhibiteur de CDK 4/6 et un inhibiteur de poly(ADP-ribose) polymérase (PARP), plusieurs inhibiteurs de tyrosine kinase, et un anti PD-L1. 

« Pour nous, l'innovation thérapeutique est indissociable de l'innovation dans le parcours de soins et nous sommes fortement engagés dans des actions d’accompagnement personnalisé du parcours de soins », indique Jérôme Krulik. 

1 000 personnes sont diagnostiquées d’un cancer chaque jour en France1 
Le cancer de la prostate est le plus fréquent chez l’homme (50 000 cas), et le cancer du sein chez la femme (59 000 cas)1
 

L’approche personnalisée des cancers peut transformer leur pronostic

Au fil de l’avancée des connaissances et des technologies de recherche et d’imagerie, les cancers se sont révélés être un grand nombre de maladies différentes. Au-delà de la précocité du diagnostic, cette nouvelle donne scientifique pourrait expliquer le mauvais pronostic de certains cancers (comme le cancer du pancréas, ou de sous-groupes d’un cancer donné). 

« Pour chaque type de cancer, il faut identifier, si possible, des sous-types moléculaires, qui constituent eux-mêmes des groupes de plus en rares concernant un nombre de patients de plus en plus limité », explique le Dr Jérôme Krulik. « Notre approche est de regarder, maladie par maladie, où sont les besoins et où nous pourrions vraiment faire la différence. » 

L’immunothérapie et l’agilité sont deux axes stratégiques majeurs de Pfizer en oncologie

« Face à un tel enjeu de santé publique, Pfizer vise à changer la trajectoire des cancers et des patients par des innovations de rupture, en intégrant la dimension du patient à tous les niveaux3 », insiste Jérôme Krulik. 

Par exemple, des recherches sont en cours dans le cancer du sein avec des inhibiteurs de cycle ou une nouvelle forme d’hormonothérapie, en hématologie avec un anticorps bispécifique contre le myélome multiple et une protéine fusion, ou dans les cancers urologiques avec un anti-PD1 et un inhibiteur de PARP. 

« Un effort tout particulier est ainsi porté sur les formes orales, permettant un traitement ambulatoire et une meilleure qualité de vie », souligne le Directeur Médical. 

Que ces projets soient issus de la recherche interne de Pfizer, ou de sociétés de biotechnologies, la clé du succès contre le cancer réside aussi dans la rapidité avec laquelle ils sont développés. « Nous nous devons d’aller plus vite pour apporter rapidement de nouvelles options thérapeutiques aux patients. Innover, c’est aussi avoir de nouvelles méthodes de design des essais cliniques et d’évaluation des résultats cliniques ». Qu’il s’agisse de se concentrer sur des sous-groupes en très petit nombre (par exemple, cancer du poumon ALK+), de s’appuyer sur des données de vraie vie et le retour des patients, ou de développer des bras comparateurs synthétiques. 

Un tiers des projets de R&D de Pfizer sont en oncologie

Notre pipeline de projets en développement porte sur de nouvelles cibles : cancers rares ou mutations, tumeurs solides ou hématologiques. 

Plus de la moitié sont des nouvelles entités moléculaires (chimiques ou biologiques), les autres étant de nouvelles indications et/ou populations. Étudiées seules ou en combinaison, 50% sont des formes orales et 50% des formes injectables. 

Pour plus d’informations sur les études cliniques en cours, vous pouvez consulter le site clinicaltrials.gov 

Pfizer France collabore avec tous les acteurs de la recherche en oncologie en France

La recherche clinique de Pfizer en France en oncologie se caractérise également par d’importants soutiens académiques, notamment pour certaines études qui ont pu soutenir le dossier de demande d’autorisation de mise sur le marché de certains de nos produits. 

Nous collaborons avec de nombreuses institutions scientifiques, dont l’Institut national du Cancer (INCa) : seul, (soutien de la mise à jour des 28 plateformes de biologie moléculaire pour favoriser le diagnostic des mutations ALK dans le cancer du poumon) ; et en tant que membre fondateur du Projet de filière décidé par le Comité stratégique des Industries de santé (CSIS)* (projets de réutilisation des données cliniques de la base SNDS par l’intelligence artificielle, pour mieux cibler les populations de patients grâce à une plateforme couplant données histologiques, biologie moléculaire, etc.). 

Nous soutenons la recherche dans les cancers pédiatriques, en partenariat avec le LEEM. 

Pfizer a mis en place, au niveau mondial, des collaborations avec des sociétés de biotechnologie, basées en France, afin d’enrichir son pipeline de nouvelles molécules en oncologie : 

  • Trillium Therapeutics, pour développer sa recherche en immunothérapie dans les hémopathies malignes. (acquisition en 2021) 

  • Imcheck, biotech marseillaise spécialisée dans le développement de nouveaux anticorps, spécifiques des lymphocytes T Gamma Delta (γδ T cells), contre certains cancers et maladies auto-immunes (investissement de Pfizer Ventures en 2019) 

* dans le cadre du Healthdata Hub « Médecine, Intelligence Artificielle (IA) et attractivité de la France », avec l’association « IA et Cancer » 

Études de vie réelle et innovation digitale 

S’appuyer sur les données de vraie vie et le retour des patients pour améliorer le parcours de vie avec un cancer 

« Au-delà des essais cliniques nous concevons, menons ou soutenons des études en vie réelle visant à apporter des connaissances complémentaires sur l’efficacité, la tolérance, la qualité de vie et l’usage de nos traitements en vie réelle sur l’ensemble des populations de patients », explique le Dr Jérôme Krulik. Essentielles pour développer une approche personnalisée des soins, elles sont également très utiles aux décisions des acteurs de santé, des autorités sanitaires et des sociétés savantes.3 

Il s’agit, par exemple, de l’étude PALOMAGE, réalisée avec la SOFOG (Société Française d’Oncologie Gériatrique) dans le cancer du sein RH+ HER2-, chez des patientes âgées, présentée oralement à l’ASCO 2021,4 et de l’étude observationnelle AVENANCE dans le traitement de suivi des cancers de la vessie.  

Pfizer investit le champ de l’intelligence artificielle (IA) au service des patients 

Parmi nos projets : 

  • Accompagnement personnalisé des patients (via un robot conversationnel et transfert de leur données) et du personnel soignant qui peut ainsi mieux identifier les patients à risque (Collaboration avec Sêmeïa, plateforme de télé-suivi des patients (signes vitaux, paramètres biologiques).

  • Suivi web des patients atteints de cancer du rein.

Engagements patients & optimisation du parcours de soins 

Outre son portefeuille de traitements innovants, Pfizer met à disposition l’un des plus larges portefeuilles de médicaments biosimilaires en oncologie. « Traitements ou médicaments utilisés en soins de support, les biosimilaires s’inscrivent dans notre engagement à soutenir le système de santé et un accès des patients à l’innovation médicale », détaille Jérôme Krulik. 

« Nous sommes convaincus que l’innovation thérapeutique est indissociable de l’innovation dans l’accompagnement du parcours de soin et d’une vision holistique du patient. » 

C’est pourquoi Pfizer est engagé depuis une dizaine d’années dans l’accompagnement personnalisé du parcours de soins, au service des patients et des proches :  

  • Accompagnement du parcours de soins à domicile pour les professionnels de santé et les patients (PactOnco®

  • Géolocalisation des associations proposant des soins de support en France (carte interactive La Vie Autour, en partenariat avec l’AFSOS, Association Francophone des Soins Oncologiques de Support). 

Nous soutenons des initiatives spécifiques pour l’accompagnement des patients en fonction du type de cancer. Par exemple :  

  • Dans le cancer du sein métastatique : l’initiative SeinChrone, démarche collective pour comprendre les besoins des patientes et co-construire des solutions améliorant leur parcours de vie ; myCharlotte, plateforme d’accompagnement digital et humain par visioconférence et messagerie ; Vik®Sein, application compagnon virtuel… 

  • Dans le cancer du poumon : solution d’accompagnement des patients pris en charge par traitement anti-cancéreux oral à domicile (partenariat sur le dispositif AKO@dom, conçu par l’association Patients en réseau et un groupe d’experts, et développé et mis en place par Continuum+, et sur AKO@PRO).  

De nombreux autres projets accompagnent les patients dans leur parcours de soins pour hémopathies malignes, les cancers du rein et de la vessie. 

Outre son portefeuille de traitements innovants, Pfizer met à disposition l’un des plus larges portefeuilles de médicaments biosimilaires en oncologie. « Traitements ou médicaments utilisés en soins de support, les biosimilaires s’inscrivent dans notre engagement à soutenir le système de santé et un accès des patients à l’innovation médicale », détaille Jérôme Krulik. 

Pour en savoir plus sur nos engagements patients :
https://www.pfizer.fr/aires-therapeutiques/cancers

Sources : 

1Panorama des cancers site INCa – consulté le 7 mars 22 
2Données internes en date du novembre 2022 
3Jérôme Krulik vidéo Pfizer et la science, PP-UNP-FRA-0994 
4APHP, page web consultée le 19/12/2021 

Publié le 11 janvier 2023 - PP-UNP-FRA-1044
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